Zeuss [PHX] vs aTchoum [- T -] un Rhume de Cerveau plus tard.

19/12/2010

Il était une fois dans un monde lointain des empires abrités, des Guerriers, des Bâtisseurs, des Génies, mais des Soulards aussi. Là-haut sur la falaise, le cortège des Phénix revenait d’une campagne glorieuse mais accablante.
Zeuss & Doom passent par la taverne acheter quelques litres, juste histoire de faire un ti-peu les pitres.

Doom : Hey Sethanak, vite vite par ici mon copain, ce soir Annibal est clément, il nous fouettera demain.
Zeuss : Allez vite, au goulot, faut les vider au bon matin.

Et ils commencent à boire l’esprit embrumé,
Ils oscillent en marchant s’affaissent sur le canapé
Le regard vide, le cœur plein, complètement soûlés.

Tout autour de cette falaise & de ces Nids Cannelés, des cèdres & des pins poussaient au hasard entre des imposants tronçons de pierre. Au plus haut de la falaise, s’élève des colonnes, un chapiteau, un autel ardent : Le Sanctuaire du Grand Phénix.

Et voila que des hommes, vêtus d’une tunique légère ornée d’une croix rouge, se faufilent alors qu’à l’aube montante, la nature se réveille. En quelques heures ils poursuivent leurs actes, infâmes barbares, alors que les autres hurlaient : "mais l’habit, mais le moine !!!"

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Ce jour, la nuit venue, les Templiers iront dormir dans un calme serein. Une illusion de quiétude, sans entendre les cris qui percent la nuit. Ils se baladeront le lendemain avec toute indifférence, avidité de pouvoir a peine assouvie.
Et le Phénix qui survole cette aquarelle de feu et de sang, hurle à haute voix : Templier ! Va vite, va loin, un de ces jours tu me le payeras !

Et le Templier déambule dans les bois,
Il dort dans les cavernes, dans des DG de son choix,
En effet, il n’osait plus revenir chez soi
De peur que les Phénix ne soient la

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Il sait que leurs coups lui feront mal
Il espère au moins qu’ils ne seront pas fatals.
Longues heures à scruter l’horizon, il s’inquiète
Il scrute le ciel de peur qu’il ne lui tombe sur la tête.
Il fait ces prières, invoque les étoiles,
Espérant que les nuages en se dispersant ne dévoilent,
Des Aigles de Feu aux allures royales.

Les yeux noirs de fatigue, l’esprit bouleversé
Il ne reste que l’alcool pour mouiller son gosier
Tant de sérieux alors que les Phénix rigolent
Des nuits à fendre la poire comme des drôles.

Cette nuit les espions reviennent à leur maître jubilant de joie. Une âme perdue dans une taverne a tout dévoilé ; il suffisait d’un peu de vin, d’une compagnie, et il a tout déballé :
« Un templier suite a un Rhume roupille a haute voix,
allez vite, tout l’entourage montre sa Navale du doigt. »

Zeuss, le Phénix Foudroyant, déploie ses grandes ailes & vole haut
Il fonce sur son adversaire, amenant fer, feu, et chaos.
Sur mer les Béliers & les Lance-flammes s’éventraient,
Les vagues valsaient avec les coques laminées.
Capitaine aTchoum chavire avant de tomber comme un plomb dans la mer.
Son équipage a l’unisson saute rejoindre son maître, son père
Ne voulant rien à personne, juste la chance de continuer
Tout juste que pour eux cette guerre soit terminée.

V.I.P Messages : 136 Date d'inscription : 29/02/2012

C'est quand que tu arretera d'être douer serieux Smile